La transformation des criminels de guerre en chats, qui tout d'abord a semblé offrir une alternative efficace, peu coûteuse et bénéfique à la prison, se révèle un procédé dangereux : tout d'abord chatons mignons et câlins, ces néo-chats se révèlent en grandissant voraces, sournois, un peu agressifs, et selon certains témoignages, ils possèdent une espérance de vie largement supérieure à la moyenne, ce qui, au vu de ce vieillissement désastreux, laisse présager le pire. Si leur évolution est régulière avec l'âge, on peut craindre qu'à 50 ans, ils soient des monstres féroces acariâtres et gueulards, chargés de pustules et de puces, prêts à tuer jusqu'aux bébés.